Nicolas Peyrac

Nicolas Peyrac, né Jean-Jacques Tazartez, grandit en Bretagne dans une famille de médecins. Très jeune, il est attiré par la musique. Il écoute tous les classiques de la chanson française. Autodidacte, il apprend à jouer de la guitare et commence à écrire quelques textes. Au début des années 60, il découvre la musique anglo-saxonne en partant vivre un an aux Etats-Unis avec sa mère.
A 18 ans, il se lance dans des études de médecine mais continue à explorer de nombreuses activités artistiques. Outre la musique, il s’essaye à la photographie et à la peinture. Il réalise même la pochette d’un des disques de Gilbert Bécaud.

Après deux premiers 45 tours peu remarqués, Nicolas Peyrac signe un tube en 1975 : « So far away from LA ». Puis, il confirme son succès la même année avec « Mon père ». Les années suivantes il alterne scènes et enregistrements.
Au milieu des années 80, le chanteur se fait plus remarquer pour les titres qu’il écrit pour d’autres artistes, notamment Johnny Hallyday et Placido Domingo, que pour ses propres interprétations. Touche-à-tout, il écrit également un roman et réalise un documentaire pour la télévision sur les sportifs de haut niveau.

En 1992, après le décès de Michel Berger dont il se sentait très proche, Nicolas Peyrac se replonge dans l’écriture et sort un album : « Tempête sur Ouessant ». Cet opus marque un virage dans sa vie. Le chanteur breton décide alors de s’installer au Québec. C’est d’ailleurs outre-atlantique qu’il reprendra goût à la scène.
De retour en France depuis déjà plusieurs années, Nicolas Peyrac propose à ses fans de retrouver tous ses plus grands succès dans une compilation : « Toujours une route ».

Nicolas nous livre aujourd'hui un nouvel opus studio un peu différent des autres dans sa réalisation. “Vice versa“ a vu le jour petit à petit entre un magnifique voyage en Chine et l'écriture d'un roman.