
Si le coupé-décalé et le zouglou ont le vent en poupe, le rap a, lui, plus de mal à se faire entendre en Côte d’Ivoire. Malgré les efforts de pionniers du genre musical comme la rappeuse Nash, le rap reste encore très stigmatisé : “Nous les rappeurs c’est soit on est violents, soit on est drogués, soit des moins-que-rien qui n’ont pas une bonne mentalité”. Mais Nash y croit et encourage les jeunes à persévérer et à véhiculer des messages.